Les procédés que nous déployons en viticulture reflètent nos valeurs et notre engagement pour la culture bio. Grâce à l’agriculture diversifiée, nous préservons les sols sur lesquels nous cultivons mais aussi l’écosystème qui nous est cher ainsi que notre encépagement.
Le respect de toute chose nous permet un suivi réfléchi de la vigne, tant pour limiter notre empreinte environnementale que pour partager avec vous le meilleur de ce que nos vignes ont à offrir.
LE VIN BIOLOGIQUE
Engagés, nous défendons les valeurs de l’Agriculture Biologique à chaque étape de la création des crus du CHÂTEAU FLEUR URSULINE, afin d’offrir la meilleure expérience à tous ceux qui les dégustent. Acteurs d’un élevage responsable de nos vins, nous composons nos propres méthodes de vinification, entre savoir-faire ancestral hérité du patrimoine familial et procédés innovants issus de notre expertise. C’est de cette exigence, sans cesse renouvelée, que nos vins tirent la pureté qui fait leur force.
Déguster un cru du CHÂTEAU FLEUR URSULINE, c’est découvrir un grand vin qui révèle la forte personnalité de son terroir situé sur les terrasses de Figeac, Cantenac et du Tertre Daugay. C’est aussi faire l’expérience de la pureté d’un vin tout en finesse aromatique, reflet des conditions naturelles dans lequel il est créé.
Vinifier sans ajout de sulfites, exclusivement avec des produits naturels, c’est proposer une qualité de fruit optimale plus respectueuse de ceux qui dégustent le vin comme de l’environnement.
A travers le respect du vivant et des cycles naturels, en favorisant les mesures préventives, le domaine propose à notre palais une expérience unique de dégustation.
Véritable signature des vins du CHÂTEAU FLEUR URSULINE, la réunion harmonieuse des cépages authentiques du terroir, associée à la qualité des procédés bio forment une alliance unique, qui plaira à tous les amateurs des Grands Crus de Saint- Emilion.
Être en accord perpétuel avec la nature demande de se réinventer. Les nouvelles méthodes que nous déployons nous emmènent à l’origine du vin. Matthieu VERHAEGHE